08 juillet
20h30 (duration 1h)
Tarifs normaux
Fils de Voleur
«Comment et pourquoi je suis arrivé ici ? Pour les mêmes raiso
20h30 (duration 1h)
Tarifs normaux
19h00 – duration 30 min (en portugais, surtitré)
Tarifs forme courte (10 euros, réduit à 8 euros)
Texte D’Aprés: João Guimarães Rosa
20h30 (duration 1h10)
Tarifs normaux
15h00 (duration 1h)
Tarifs normaux
Burkina Faso/France – Jeune public
Nélaba, se souvient des histoires que sa Grand-Mère lui racontait au Burkina Faso. Ces fables contées en français et en mòoré se terminaient par des respirations de liberté. Nélaba se souvient aussi des Fables de La Fontaine, apprises au collège à Ouagadougou.
Ce croisement des langues crée une prosodie emplie d’une énergie qui chante. Elle est accompagnée par le musicien Désiré Sankara qui propose un doux mélange de musique traditionnelle et actuelle. La langue de La Fontaine se frotte ainsi avec le français et le mòoré des fables burkinabées, et La Fontaine retrouve une étonnante actualité…
De & Avec: Nélaba et Jean-Luc Borg
Accompagné par: Désiré Sankara
Musique: Désiré Sankara
Mise en scène: Irma Rose
20h30
Tarifs de la Ferronnerie
à la Ferronnerie
Dans le pays de Mung, la guerre s’en vient. Pour la sauver, ses parents la confient à un monsieur-transporteur qui va la conduire dans un Pays sans guerre. Avant son départ, sa grand-mère lui offre une peau de cuir sur laquelle elle peut inventer l’histoire de sa vie. Dans le pays de Momo, la guerre s’en vient aussi, et le garçon doit se séparer de ses parents avec au cœur le rêve de construire un pont de pierres.
20h30 – duration 1h30 (en anglais, non-surtitré)
Tarifs normaux
19h00 (duration 40 minutes)
Tarifs forme courte (10 euros, réduit à 8 euros)
20h30
Tarifs normaux
Présente le spectacle: L’ARBRE DU POISON
“Padrão Vazio” est projet de son, de vidéo et de parole où se travaillent des textes de plusieurs poètes portugais tels que António Lobo Antunes, Jorge de Sousa Braga, Gonçalo Martins, Manuel de Freitas, Adília Lopes, José Carlos Ary dos Santos, Maria Fernandes, Pedro Oom, Vítor Sousa, etc.
Depuis toujours la poésie portugaise, qui accompagne l’histoire du pays depuis l’aube, est forte et puissante. Astucieuse, riche, inventive, vigoureuse, critique, c’est essentiel de la connaître afin de mieux comprendre notre culture.
Son intemporalité, une certaine mélancolie, la musicalité des paroles, n’est pas faite que pour être lue, elle existe, encore aujourd’hui et dans la tradition troubadouresque, pour être avant tout, DITE.
La poésie portugaise est considérée comme une des plus importantes au monde. Nous sommes un pays de poètes.
La poésie portugaise contemporaine est avec certitude plus grande que l’échantillon que nous avons choisi pour l’illustrer, ce qui ne réduit en rien le caractère représentatif d’une telle sélection. Nous avons parfaitement conscience que beaucoup d’autres grands poètes non pas été cités mais nous sommes persuadés que ce spectacle donnera forcement origine à un autre avec des nouveaux poèmes et des nouveaux poètes.
Et nous voilà en 2017, année qui une partie de nous-mêmes veux quitter. Quo Vadis Britannia? Mais non ! “Baby, come back”, nous t’aimons, “Oh Britannia” qui est tant et sans toi tout devient un peu un nonsense.
Que cela soit un pas en arrière pour que par la suite nous puissions avancer tous ensemble vers une Europe des Peuples.
Au diable le BREXIT… s’il te plaît fait-moi un BRITIN!!!!!
Nuno Morna : voix e effets sonores, Rodolfo Sousa : guitare et samplers, Paulo Gouveia : batterie, Luis Melim : vidéo
Nuno Morna (voix, effets techniques) entre les rôles de la vie et ceux de la scène, il cherche la formule parfaite de la réalisation… musique et théâtre, deux passions. Sentir et attirer dans la parole comme une maxime.
Rodolfo Sousa (guitare, synthétiseurs (…….) effets spéciaux) de la responsabilité d’un Do nait un Ré qui parcoure le Mi, main dans la main avec un Fa, sur un Sol de La que dans le Si s’incorpore…
Paulo Gouveia (batterie, synthétiseurs) Dans une batterie puissante se construit un univers de présences omniprésentes… Des sons qui sautent, qui dansent, qui reviennent et qui repartent. Des présences constantes d’une réalité envoûtante.
20h30 (duration 1h30)
Théâtre lyrique
Tarifs normaux
20h30
Tarifs normaux
De: Dominique Dreyfus, Isabel Ribeiro et Toninho do Carmo
Direction Musicale : Toninho do Carmo
Avec : Alain Carbonnel, Delphine Dey, Fabiana Spoletini, Manuela Brazil, Maria Teresa Ferreira, Raphaël Fournier, Raphaël Barani
Création vidéo : Luis Melim
Arts de la scène
Exit le Brexit…
Et voilà la Grande Bretagne qui veut nous quitter, elle qui fait tant partie de nous, qui nous a fascinés et façonnés. Elle qui nous a initiés dès les années 60 au vent de la salutaire et joyeuse folie qui soufflerait sur l’occident dans les années 70. Et oui, avec une décennie d’avance, la Perfide Albion et son Swinging London révolutionnaient la culture et les mœurs, inventaient une nouvelle manière d’être, de vivre, de penser, de créer.
Pourra-t-on jamais énumérer tout ce que – malgré ses caprices de star – elle a pu alors nous offrir de bonheurs, d’émulation, de fantaisie ?
Marquant à la culotte l’ouverture du gouvernement Wilson, Londres était le centre d’un monde bouillonnant de contre-culture psychédélique, d’hédonisme, d’avant-garde et d’underground. Elle nous envoyait Peter Brook, the Living Theater, son cinéma – Ken Loach, Ken Russel, Lindsay Anderson. Nous lui envoyions nos cinéastes – Antonioni, Polansky, Kubrick, Losey – qui y trouvaient leur inspiration ; Mary Quant réinventait la mode et raccourcissait outrageusement la jupe des filles, les Beatles réinventaient la pop music et rallongeaient les cheveux des garçons. Cependant que les Rolling Stones revoyaient avec insolence la copie d’un rock qui allait devenir aussi glorieux que son alter ego yankee. Les disciples suivraient : the Animals, the Who, the Kinks, Pink Floyd et tant d’autres. Ils composèrent la bande son des sixties. Et celle de ce « Swinging London » qui déroule en chansons et souvenirs d’époque, le fil de ces années magiques en guise de point final à cette édition de MigrActions « so British ».